Jean-François DURAND (Nancy 1731-1778)

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Jean-François DURAND (Nancy 1731-1778)
Alexandrine Charlotte Xavière de Baudios de Castéja (1768) Marie Joséphine de Biaudos de Castéja née baronne du Pire d'Hinges (1759- ) Louis Anne Alexandre de Biaudos, marquis de Castéja (1736-1808) Stanislas de Biaudos, comte de Castéja (1738-1792) Marie-Thérèse du Pire d'Hinges, née d'Errembault d'Udzeele Alexandre Ghilain, baron du Pire d'Hinges Marie Thérèse d'Assy Timoléon Constant de Biaudos de Castéja, en cupidon (1773-1799) Alexandrine Aimée de Biaudos de Castéja (1777-1778) Catherine Joséphine Louise de Biaudos de Castéja (1776-1813) Dix pastels ovales. Inscriptions au revers précisant l'identité des modèles et la date 1774. 39 x 31 cm Provenance : - Vente anonyme, Les Andelys, 20 décembre 1985 (Maître Cousin); - Acquis à cette vente par les actuels propriétaires. Ces portraits familiaux ont été peints le 20 décembre 1774, quelques mois après le remariage de Louis Anne Alexandre de Biaudos, marquis de Castéja, avec Marie Joséphine du Pire d'Hinges. Les portraits des enfants nés de cette union sont postérieurs. Le marquis de Castéja était veuf de Louise Charlotte du Pleurre décédée en 1773 avec qui il eut deux enfants Alexandrine et Timoléon. Il fut notamment gouverneur de Saint-Dizier. Les portraits de Catherine-Louise et d'Alexandrine Aimée de Castéja, née du mariage du marquis de Castéja et de sa deuxième femme sont postérieurs. Marie-Thérèse du Pire, née d'Errembault de Dudzeele et Alexandre Ghilain baron du Pire d'Hinges sont les nouveaux beaux-parents du marquis de Castéja. Stanislas de Biaudos, comte de Castéja était le frère du marquis. Il fut militaire. Le portrait de Catherine de Castéja, née du mariage du marquis de Castéja et de sa deuxième femme, date de 1776. Issu d'une famille de peintres qui travailla surtout à Nancy, Jean-François Durand fut l'élève de son père Jacques Durand. Son frère était également peintre sous le nom de Jean-François le cadet. Jean-François Durand l'aîné travailla surtout comme portraitiste. Il fut aussi peintre de sujets religieux. Un de ses rares tableaux est passé en vente le 4 avril 2017 à Paris, Hôtel Drouot (Le lavement des pieds, toile, daté 1751, n° 27, reproduit). Quelques-unes de ses œuvres sont conservées au musée historique lorrain de Nancy. la série
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